samedi 29 décembre 2012


Bonne et heureuse année 2013 à toutes et à tous.
Que cette année 2013 qui s'annonce pourtant si difficile pour l'emploi et le pouvoir d'achat des Français que nous sommes, vous apporte malgré tout bonheur santé et joie de vivre.


Cette mauvaise passe dans laquelle la France est plongée du fait de la crise économique internationale et de l'absence de politique cohérente du gouvernement actuel, ne doit pas nous faire perdre espoir car notre pays regorge d'idées et d'énergie capables de nous faire surmonter cette épreuve comme nous en avons déjà surmonté tant dans notre histoire.

Au niveau de notre ville Elancourt, et de notre territoire Saint Quentin en Yvelines nous y travaillons ! Nous préparons également l'avenir et pour ce faire toutes nos décisions visent à toujours mettre l'Homme au centre de celles-ci et donc de toujours décider nos investissements en fonction des emplois ou des facilitations à l'emplois qu'ils généreront ou aideront à faire éclore.

Mais à l'aube des municipales qui s'annoncent en 2014 nous devons déjà réfléchir à ce qu'il reste à faire pour aller plus loin dans ce sens. Quelques exemples : terminer l'aménagement de Clef de Saint Pierre et y favoriser l'installation de nouvelles entreprises et le maintien de celles qui y sont déjà et ce quelque soit leur taille, améliorer les transports à tous les niveaux (fluidifier les accès à Élancourt et ce quelque soit le mode transport utilisé...) etc... 
Mais pour le moment nous n'irons pas plus loin et nous vous réservons nos idées pour un peu plus tard..., mais sachez le, nous les développons déjà pour faire de notre vie à tous à Élancourt et à Saint Quentin en Yvelines, un plaisir sans cesse renouvelé et surtout nous redonner l'espoir du développement économique et donc de l'emploi et du bonheur !

Je vous souhaite donc à nouveau tous mes voeux pour 2013 pour vous et pour tous les êtres qui vous sont chers.

A bientôt pour continuer de travailler ensemble à Élancourt à l'amélioration matérielle et morale de tous et au perfectionnement, à notre humble niveau d'élu local, d'une humanité meilleure et plus éclairée.

mardi 25 décembre 2012

En ce jour de Noël, nous constatons tristement que notre Président à omis d'envoyer un message aux catholiques pour Noël, alors qu'il l'avait fait pour les Musulmans pour l'Aïd...soulignons la volonté du Ministre de l’éducation sur l'enseignement de la Laïcité dans nos écoles.


En ce jour de Noël, nous constatons tristement que notre Président de la République à omis d'envoyer un message aux catholiques alors qu'il l'avait fait pour les Musulmans pour l'Aïd...
Soulignons en même temps la volonté du Ministre de l’éducation sur l'enseignement de la Laïcité dans nos écoles. 
Il est indispensable de rappeler à notre Président de la République que la France est "une et indivisible" que nous sommes Le Peuple Français, et non pas un ensemble de communautés, pouvant être réduit ou classer par sa religion , son sex, ses meurs ou je ne sais quoi d'autre !
En pareil cas, et comme tous les Présidents de la République de droite comme de gauche l'ont fait avant Monsieur Hollande, ne pas envoyer de message religieux discriminant ainsi certain français doit être notre règle républicaine et laïque...

On le voit : à vouloir faire de la communication on en oublie une partie des Français.

Monsieur le Président faites comme votre Ministre de l'Eucation : pensez à tous moments à la Laïcité fondement et ciment de notre République !

Vincent Peillon propose d'instaurer une charte de laïcité dans les établissements scolaires
« Je propose que nous adaptions la charte de la laïcité dans les services publics aux écoles et aux établissements scolaires, de réécrire à destination des élèves son contenu par des définitions simples et courtes de la laïcité, de la citoyenneté, dans un langage compréhensible », déclare Vincent Peillon, ministre de l'Éducation nationale, lors de la séance inaugurale du cycle de conférences « Vivre et faire vivre la laïcité », mardi 11 décembre 2012 au Cnam. Afin de « rebâtir du commun entre tous les élèves de France », Vincent Peillon souhaite que cette charte soit « affichée dans chaque établissement ». Elle « pourra » également « être jointe au règlement intérieur de chaque établissement ». L'inscription du principe de laïcité dans le règlement intérieur des établissements scolaires est présente dans le rapport issu de la concertation pour la refondation de l'école (AEF n°172831).

Vincent Peillon s'est également exprimé mardi sur le sujet de « la morale laïque et l'Éducation nationale » dans le cadre des « troisièmes rencontres de la laïcité » organisées à l'Assemblée nationale.

« TRANSMETTRE L'IDÉAL LAÏQUE »


Pour Vincent Peillon, « il est inscrit dans les textes de l'Éducation nationale que la mission des professeurs est d'instruire et de transmettre les valeurs de la République : liberté, fraternité, égalité. Ils sont chargés de les enseigner. » Le ministre fait notamment référence à la
circulaire n°97-123 du 23/05/1997 qui indique dans son introduction que « le professeur exerçant en collège, en lycée d'enseignement général et technologique ou en lycée professionnel […] s'attache à transmettre les valeurs de la République, notamment l'idéal laïque qui exclut toute discrimination de sexe, de culture ou de religion. »

Or, regrette-t-il, « avec le projet d'enseigner la morale laïque, c'est la gêne, la consternation, le sentiment que l'on souhaite enseigner une morale d'État, une orthodoxie à rebours. » Et d'interroger : « quels sont les liens entre République, école et laïcité ? » « Ils sont indéfectibles. Quand la République veut s'installer en France, la première ne dure pas longtemps. Pourquoi ? On refait ça en 1848, mais bientôt c'est le retour de l'Empire. Et Littré de s'interroger : 'Pourquoi la République n'arrive pas à s'établir ?' Parce que la révolution matérielle n'est pas suffisante. Il faut aussi la révolution des esprits. Car si on laisse l'esprit du peuple, la morale, à l'Église, le moteur c'est la rétrogradation. Pas la République. Aussi, la Troisième république porte le projet de l'école comme capacité de nourrir une approche des valeurs, une approche spirituelle qui fait face à l'alliance entre conservatisme, rétrogradation et Église », rappelle Vincent Peillon.

LAÏCITÉ : NI NEUTRALITÉ NI TOLÉRANCE


« Les Républicains doivent avoir quelque chose à enseigner aux élèves : ça s'appelle la laïcité », soutient le ministre. Celle-ci « n'est pas la simple neutralité. Comme le dit Jaurès, 'la neutralité c'est une forme d'indifférence, il n'y a que le néant qui soit neutre'. Or, nous avons des valeurs. Il faut être capables de les défendre, de les instruire, de les enseigner ». La laïcité, ce n'est pas non plus la tolérance. « 'Nous ne demandons pas à être tolérés, nous demandons à être libres, nous demandons le respect' », rappelle Vincent Peillon, citant à nouveau Jean Jaurès.

« Aujourd'hui, sous prétexte de tolérance ou de neutralité, il faudrait que l'État n'enseigne rien. La morale, la laïcité, « on [les] enseignerait partout mais la République resterait neutre. C'est un étrange désarmement unilatéral », juge le ministre, « et le relativisme absolu ». Car à ce moment « tout se vaut, nous pouvons tout accepter ! Mais la liberté, l'égalité entre les hommes et les femmes, l'interdiction de l'excision des jeunes filles, ce n'est pas inné, il faut le transmettre. D'ailleurs, tous les travaux de psychologie vous le diront : pour qu'un enfant sache quelque chose, le mieux c'est de le lui enseigner. Ce renoncement est étonnant. Nous devons nous réarmer », appuie le ministre.

« LE MOT MÊME DE MORALE FAIT PEUR »


« Le mot même de morale fait peur », s'étonne-t-il pourtant. « Ainsi, on aurait le droit de faire de l'enseignement juridique. Mais ne peut-on juger une loi injuste ? », questionne-t-il. De même, « on peut respecter la loi et être le pire des salauds si l'on ne se fait pas voir », fait-il encore valoir. Mais « si on veut s'obliger soi-même, et non par le peur du gendarme, on est dans la morale ». « Cette éducation à la morale laïque, c'est une éducation à la liberté, pas au masque ». Et Vincent Peillon de rappeller les propos de Montesquieu : « pas de République sans vertu » et ceux de Rousseau pour qui « morale et politique sont liées ».

Vincent Peillon rappelle qu'une mission formée par Rémy Schwartz, Alain Bergounioux et Laurence Loeffel doit définir le champ de cette nouvelle discipline, son mode d'évaluation et sa progression et rendre un rapport au printemps 2013 (AEF n°
173055). Le ministre insiste sur l'importance d'évaluer cette discipline : « Lorsque vous n'évaluez pas une discipline, elle n'existe pas. Donc, elle ne sera pas enseignée. Nous connaissons les querelles de programme et l'obligation des professeurs à préparer aux examens… », souligne-t-il.

QUELLE FORMATION?


À l'Assemblée nationale, le ministre indique « qu'il y a une discussion au sujet des concours de recrutement pour savoir s'il n'est pas opportun d'interroger les candidats » sur la laïcité. Quant aux Espé, « cet enseignement est nouveau, et la morale laïque a été oubliée dans les maquettes de formation. Je suis intervenu personnellement cette semaine pour qu'un enseignement à la morale laïque soit apporté aux instituteurs ». Il reviendra en suite aux professeurs des écoles de l'enseigner « puisque cet enseignement doit se faire tôt ». Pour le secondaire, Vincent Peillon aimerait que l'on sorte « de la restriction enseignants de philosophie, de lettres ou d'histoire. D'autres peuvent choisir de l'enseigner aussi ».

Outre l'acquisition de cet enseignement durant leur formation initiale, les enseignants disposeront d'un ouvrage « Pour une pédagogie de la laïcité », réalisé sous la direction du philosophe Abdennour Bidar dans le cadre de la mission pédagogie de la laïcité, entre MEN et HCI (AEF n°
162983) et présenté mardi au Cnam. Pour le philosophe dirigeant cette mission, « seule une laïcité bien comprise sera une laïcité bien transmise ». Cet ouvrage propose aux enseignants des « documents de travail, sur différents types de situations » pratiques qu'ils peuvent rencontrer dans l'enceinte scolaire.

Durant cette mission, Abdennour Bidar s'est rendu dans de plusieurs établissements scolaires. Il a constaté que les situations sont « souvent aggravées par les lacunes et les maladresses des personnels en la matière ». « Cela se passe toujours mieux partout où les personnels maîtrisent mieux la laïcité. Partout où ils sont au clair sur la laïcité, les personnels sont en mesure de légitimer, de fonder par le dialogue les limites qu'elle fixe. Et les élèves et leurs parents l'acceptent de bon gré », souligne le philosophe. Dans ces cas précis, la laïcité est « devenue un objet de dialogue, face auquel les élèves ne sont plus récalcitrants ».

lundi 24 décembre 2012



Je vous souhaite à tous et à toutes un excellent Noël 2012, en espérant que vous n'êtes pas seul(e) ce soir en ce jour d'espoir qui transcende les religions de part sa symbolique, et si tel est malheureusement le cas pensez que la vie reste le plus précieux des cadeaux.

Bien à vous !!!

jeudi 20 décembre 2012

Les Yvelines et plus généralement l'Ouest parisien "sortis" du projet de Supermétro

On rêve, non plutôt c'est un cauchemar !!!!

Alors que les problèmes des transports, au sens large, restent le talon d’Achille de notre région, où, à part quelques rustines qui ne concernent que le première couronne, c'est à dire les quelques lignes de tramway en cours de construction ou en cours de mise en service, rien n'a été entrepris ni réalisé depuis plus de 20 ans qui soit significatif, notre Ville d’Élancourt, notre Communauté D'agglomération de saint Quentin en Yvelines, dont il ne faut pas oublier qu'il s'agit d'une vraie ville de plus de 150 000 habitants, et plus généralement notre département des Yvelines est dorénavant totalement exclu du projet de tracé du "supermétro" !


Ce projet majeur et essentiel pour nos territoires, et la vie de ces citoyens est passé par pertes et profits au bénéfice d'un déséquilibre total vers l'est de la région Ile de France.

Tel qu'il est en ce moment envisagé, et réduit, il n'y aura pas de ligne qui desservira notre ville ni même notre agglomération !!!

Nous continuerons donc à Elancourt, à attendre dans nos voitures au milieu des bouchons en polluant sur l'A 12, l'A 13, ou encore l'A 86. 
Nous continuerons donc à attendre nos bus, souvent plus de 20 minutes,  pour rejoindre nos deux gares de saint Quentin en Yvelines, en souvent plus de 30 minutes et là aussi dans les bouchons, pour y attendre des trains toujours vieillissant et souvent en retard. 
Bref nous continuerons à habiter et à vivre sur un territoire ou quasiment aucune amélioration des transports n'a eu lieu depuis les années 1980 !!!

Ceci est inadmissible et prouve, là encore, le désintérêt qui nous est porté, par certains politiques à nous les habitants de Saint Quentin En Yvelines et que dire du peu de cas que font ces politiques des entreprises qui se sont installées sur notre territoire !

N'oubliez pas : Saint Quentin en Yvelines est l'équivalent d'une ville de 150 000 habitants. 78 000 de ses emplois sont tenus par des salariés résidant hors de l'agglomération, 53 000 actifs habitant à Saint Quentin en Yvelines travaillent hors de l'agglomération.Cela conduit à plus 262 000 déplacements chaque jour,

Je vous demande, afin de faire pression sur le gouvernement et sur nos élus à la Région Ile de France, de bien vouloir signer notre pétition visant à réclamer un rééquilibrage sur projet de "supermetro" afin de ne pas être les "oubliés des transports Franciliens"

SIGNEZ ICI LA PETITION :

 Pétition pour une desserte de SAINT QUENTIN EN YVELINES et d'ELANCOURT par le Supermetro Francilien




mardi 18 décembre 2012

La nouvelle carte des EPCI dans les Yvelines : pas de nouveau regroupement pour Saint Quentin en Yvelines

Il est bien dommage de constater, une fois encore, que les arrangements locaux dénués de tous sens de l’intérêt général ont prévalu dans le choix du regroupement des communes au sein des EPCI Yvelinois.
On note ainsi la création d'EPCI qui n'ont de sens apparents que celui de servir les intérêts politiques locaux sans tenir compte des enjeux stratégiques de territoire, ni, bien sur, de la logique géographique des bassins de population et de vie.

Deux exemples frappant, qui nous concernent directement, la création de la communauté de communes (?) Maurepas-Coigniéres et celle de Plaisir, Les Clayes Sous Bois, Villepreux.... alors qu'il était, dans ces deux cas, logique que ces communes rejoignent la CASQY (Communauté d'Agglomération de Saint Quentin en Yvelines).....

Ci-contre extrait de l'article du Parisien qui nous montre ainsi la nouvelle carte qui résulte de ce vote :


dimanche 16 décembre 2012

La Région Ile de France une fois de plus passe les transports en commun par pertes et profits !


Nous ne pouvons que constater et regretter la nouvelle augmentation des tarifs des transports franciliens de + 2,9% en moyenne qui s'appliquera le 1er janvier 2013, qui vient d'être votée par la majorité au conseil d’administration du Syndicat des Transports d’Ile-de-France (STIF).
Il s'agit là de la cinquième hausse depuis juillet 2010 !!!! Ce qui est scandaleux quand l'on voit tous les jours le niveau de service qui nous est proposé pour les transports en Ile de France et tout particulièrement dans nos communes de Saint Quentin En Yvelines, oubliées de la Région (horaires inadaptés, trains dans un état de vieillissement absolu pour beaucoup d'entre eux, gare de la Verriére ses parkings et ses accès adaptés aux.....années 70 etc...) et ceci d'autant que ce sont entre autres les usagers les plus durement impactés c'est à dire ceux de la zone 1-4 qui vivent au quotidien l’enfer du RER dans les Yvelines.
Quand l'on regarde en détail le bilan des actions financières entreprises par la région l'on constatera qu'en l’espace d'un peu plus de deux ans et alors que la qualité de service ne cesse de se dégrader dans les transports en commun franciliens, les usagers des zones 1-2 auront vu augmenter leur Pass Navigo mensuel de 8,50 € (+ 15%), ceux des zones 1-3 de 9,70 € (+ 13%) et ceux des zones 1-4 de 10,60 € (+ 12%).
D’ici à 2020, il est même prévu par la Région et par le STIF, une hausse de 25% des tarifs, ce qui portera le tarif du Pass Navigo mensuel à 80 euros pour les zones 1-2.
Mais pour autant où sont les investissements visant à moderniser les transports dans notre région et plus particulièrement à Saint Quentin en Yvelines? Nous sommes elancourtois et nous sommes totalement dépendant de ceux-ci pour nos déplacement !!!!
Selon nos informations en 2013, ce ne sont pas moins de 51 millions d’euros qui ne seront pas affectés à la modernisation des RER. En 2012, ce sont 33 millions d’euros qui n’avaient pas été utilisés à rénover les transports franciliens alors que les sommes avaient été allouées pour ce but dans le cadre du Grand Paris...
A tout cela et toujours selon nos sources, il faut ajouter que depuis 2008, le STIF a inscrit à son budget près de 400 millions d’euros d’investissements qu’il n’a finalement pas dépensés.

Les transports dans les Yvelines et plus particulièrement à Saint Quentin en Yvelines et surtout à Élancourt sont essentiels à notre vie de tous les jours et indispensables à l'activité économique, sociale et culturelle, sans transports pas d'emploi pour nous les habitants de SQY !!

Il sera temps, le moment venu, de le rappeler aux élus de la Région Ile de France par notre vote pour les candidats du Centre seuls représentants des habitants de nos villes si souvent oubliés de ceux qui pour le moment dirigent notre région. 
Nous les élus du centre nous savons plus que tout que c'est par là que passe l'avenir de Saint Quentin en Yvelines et de ses habitants!!

dimanche 18 novembre 2012

Culture: budget 2013 de la France en recul de 4,3%


Aurélie Filippetti hérite d'un budget en baisse de 4,3 % pour 2012.

Aurélie Filippetti Ministre de la culture du Gouvernement Ayrault

Culture: budget 2013 de la France en recul de 4,3%

Plusieurs projets décidés par l'ancien gouvernement sont bien abandonnés pour faire des économies.

Le budget 2013 de la mission Culture est en baisse de 4,3%, à 2,43 milliards d'euros, contre 2,54 milliards dans la loi de finances 2012. Il devrait encore baisser en 2014 (2,38 milliards) et 2015 (2,35 milliards), selon le budget triennal 2013-15.
Le budget 2013 quia été publié vendredi 28 septembre confirme, entre autre, pour parvenir à une économie globale de 4.3 %, l'"abandon" de la Maison de l'histoire de France et du musée de la photographie à Paris. Tandis que la tour Médicis à Clichy-Montfermeil et la construction d'une salle supplémentaire pour la Comédie-Française seront "repensés". Le Musée des civilisations de l'Europe et de la Méditerranée (Mucem) à Marseille, le Centre des archives nationales de Pierrefitte-sur-Seine, la Philharmonie de Paris et la rénovation du musée Picasso seront en revanche achevés dans le calendrier prévu.
En résumé les crédits du ministère de la Culture se montent à 2,43 milliards d'euros pour 2013, contre 2,54 milliards d'euros dans la loi de finances 2012. Ils devraient encore baisser en 2014 (2,38 milliards d'euros) et 2015 (2,35 milliards d'euros), selon le budget triennal 2013-2015.

Face à une telle situation au niveau national et aux nouveaux prélèvements qui viennent gréver le budget les communes et avec la volonté de ne pas recourir à l'augmentation au niveau local de l’impôt pour accabler nos concitoyens déjà durement frappés par la crise et ses conséquences sur le quotidien pourront nous échapper également au niveau de notre ville très longtemps à la nécessité de revoir également à la baisse notre budget culture ?...

samedi 20 octobre 2012

Mon commentaire sur TV FIl 78, au nom du Modem, sur le départ de Pierre Le Guerinel du Modem pour l'Alliance Centriste


Nous avons appris, par voie de presse, dans "Toutes Les Nouvelles" que Pierre Le Guerinel, ancien Président du Modem 78, notre mouvement, et membre de l'Union Régionale, proche de François Bayrou, quitte le Modem pour l’Alliance Centriste.
Il s'agit d'un nouveau départ de notre mouvement que je commente au nom du Modem, en tant que porte-parole local du mouvement, sur TV Fil 78.
Le Centre, notre Centre, est à nouveau en reconstruction et ce à quelques jours de la création de l’U.D.I.
N'oublions pas que tout ceci doit se faire dans l'unique l’objectif du service de nos concitoyens et ce, surtout au niveau local, à quelques mois des élections municipales....
Pensons à prendre des positions qui permettent au mieux de représenter les citoyens, et de pouvoir bâtir des listes et des projets, qui puissent être ainsi appliqués après une victoire aux élections municipales dans nos communes et nos communautés de communes ou d'Agglomérations. Pour ce faire nos programmes et nos alliances, avec toutes les personnes de bonne volonté au niveau local, devront être réfléchis et envisagés dans ce seul but : pouvoir appliquer nos projets sur le terrain dans l’intérêt général et donc gagner les élections municipales dans les Yvelines avec tous ceux désireux de promouvoir concrètement nos idées pour faire avancer les sujets essentiels dans nos villes : l'emploi, la sécurité, les transports, les services sociaux les plus adaptés, l’accès à la culture pour tous, la moralité de la vie publique locale, l’environnement etc...

samedi 13 octobre 2012

Le MODEM vers l'UDI --->>> OUI : MAIS .....


L’Université de rentrée 2012 de notre mouvement politique s'est achevée à Guidel il y a environ 15 jours. Nous étions environ 700 participants dont 24 Yvelinois, c'est-à-dire un peu au-delà des objectifs fixés. 
 
 La presse à sa façon, plus ou moins fidèle ou polémique parfois, en a rendu compte. 

Notre Président du MODEM Départemental des Yvelines souhaite cependant, lui qui était présent à Guidel, vous faire savoir ses impressions, son témoignage et les leçons que nous retirons, grâce à lui, de ces trois jours de travail dense, passionnant et utile.  
Beaucoup d’entre nous ont participé à cette « Université 2012» par attachement au Mouvement Démocrate ; d’autres sont venus pour comprendre les choix stratégiques du parti, qui ont pu récemment, par le choix de François Bayrou au second tour de la présidentielle de 2012,  et de nos élus, surprendre... afin de décider de leur avenir au sein du Modem.
Mais tous ont pu bénéficier de colloques et de formations intéressantes et utiles.
Enfin et c’est l’originalité de notre Mouvement Démocrate, les militants ont pu faire connaître publiquement et en toute liberté leur opinion, leur accord, leurs désaccords, leur ressenti et leurs suggestions concernant la gouvernance du Mouvement. Ce fut un débat de près de 4 heures, ouvert, spontané, sans exclusive, toujours courtois où chacun écoutait l’autre quelle que soit son opinion. Ce fut un moment de démocratie vivante et de dialogue respectueux entre militants et responsables. Cette soirée a étonné le monde des médias habitué aux fausses sérénités, aux unanimités de façade et à la langue de bois usuelle en ces circonstances. Ces instants de vérité et de démocratie donnent confiance en notre mouvement.
  
François BAYROU, au nom du Mouvement démocrate, en acceptant le dialogue avec J.L. BORLOO et ses partenaires, a précisé ce qui anime le Modem et les conditions d’une adhésion à « l’UDI » dans le respect mutuel de nos valeurs, de l’indépendance de vue politique, du respect primordial des intérêts du pays face à l’intérêt partisan ou personnel, de la nécessité du choix démocratique concernant les orientations politique et des choix électoraux primordiaux : 
  • Le choix de valeurs : démocratie, république, laïcité, capacité de résister aux extrêmes
  • Le comportement politique : tolérance, pluralisme, exemplarité, véracité du discours, faire confiance aux citoyens.
  • Veiller avec justice et efficacité aux intérêts du pays avant celui des partis, des clans ou des ambitions personnelles.
  • Dialoguer sans exclusive avec tous les démocrates d’opinions différentes.
  • Renoncer aux affrontements systématiques si l’intérêt du pays l’exige face à la crise.
  • Soutenir les réformes et les décisions utiles (Traité Européen, maîtrise budgétaire), combattre les décisions infondées (budget établi sur des estimations fausses de croissance, imposition délétère pour l’économie).
  • Ne pas être inféodé à priori à un parti de gauche ou de droite, pour pouvoir coopérer avec ceux qui oeuvrent dans l’intérêt du Pays.
Objectif : créer un Centre qui rassemble, pour constituer une force démocratique indépendante des grands partis actuels et suffisante pour assumer la gestion des affaires du pays. 

Un  Un excellent article de Marie-Anne Kraft (cliquez ici) vous donnera un témoignage extérieur assez objectif du point de vue de F.Bayrou et du Modem concernant la participation au rassemblement des « Centristes ».

En conclusion ce fut une Université riche d’enseignement, de démarche démocratique, utile par les réponses aux questions politiques de chacun et opportune dans les circonstances actuelles où se posent les questions sur l’existence d’un Centre fidèle à son histoire et attaché à son indépendance.
  
Pour le Bureau départemental du Mouvement Démocrate des Yvelines.
Bruno Tabary

Président du Modem des Yvelines.

mardi 2 octobre 2012

L'ancien ministre Jean-Louis Borloo a annoncé la naissance de son nouveau parti,

UDI: 5 choses à savoir sur le nouveau parti de Jean-Louis Borloo
L'ancien ministre Jean-Louis Borloo a annoncé la naissance de son nouveau parti

A suivre de prés et à analyser :
L'ancien ministre Jean-Louis Borloo a annoncé la naissance de son nouveau parti, du nom du groupe parlementaire des centristes à l'Assemblée nationale, qui entend occuper le "coeur de l'échiquier politique". 

Son but: rassembler les centristes

C'est "la refondation d'une famille", selon Jean-Louis Borloo. Divisés depuis l'éclatement de l'UDF, les centristes -hors MoDem- et les radicaux ont décidé de s'unir avec des indépendants et des divers droite pour mieux peser face aux deux blocs de gauche et de droite. Plus de 200 personnalités et élus ont signé le pacte fondateur de ce nouveau mouvement. 
Ces centristes affichent clairement leur positionnement: le "centre droit". "La disparition de cette famille comme entité a également appauvri le débat démocratique et provoqué une succession de défaites de la droite et du centre dans les territoires, a déclaré Jean-Louis Borloo. Et pourtant, les talents et les compétences sont là!" toujours d'après lui.

Son leader: Jean-Louis Borloo

Borloo, Morin, Bayrou... Plusieurs leaders possibles ont longtemps gravité dans la galaxie centriste. Aujourd'hui, "la question du leadership a été tranchée en faveur de Jean-Louis Borloo", assurait le député Jean-Christophe Lagarde début septembre. C'est d'ailleurs lui qui présidera le parti. Signe d'une famille recomposée qui tente de se réunir sous le même toit, l'UDI devrait compter huit vice-présidents. Oui, huit. Parmi eux, le sénateur Jean Arthuis et le député-maire de Neuilly, Jean-Christophe Fromantin.Jean-Christophe Lagarde et le secrétaire général du Parti radicalLaurent Hénart assumeront le secrétariat général, la mission de porte-parole étant confiée aux députés Nouveau Centre (NC),Philippe Vigier et Maurice Leroy
Parmi les autres personnalités, le patron du NC Hervé Morinprésidera le Conseil national du parti, l'ex-ministre Rama Yade, la commission d'investiture et le député Yves Jégo sera chargé de la mise en place d'un "shadow cabinet" ou contre-gouvernement. Le MoDem sera également représenté par Eric Azière, nommé directeur général, le sénateur Jean-Marie Vanlerenberghe et l'ancien poulain de François BayrouAlain Dolium

Son défi: éviter les erreurs de l'UDF

Parti de plein exercice, l'UDI accueillera personnes physiques et morales, comme des partis, clubs et associations, en laissant à ses membres la possibilité d'appartenir à plusieurs partis. Il fonctionnera sous le principe "une personne égale une voix". Un moyen d'éviter les erreurs de l'UDF, qui reposait sur le "un parti une voix". Les adhérents seront pleinement associés aux débats via Internet. Le parti devrait servir à déterminer un programme politique commun, à donner les investitures aux élections et disposera d'un pouvoir disciplinaire. 

Ses échéances: les municipales et les européennes

Dans l'agenda du nouveau parti de Jean-Louis Borloo figurent en premier lieu les élections municipales de 2014: l'UDI espère rassembler à cette occasion les élus locaux, maires ou conseillers généraux, restés sans appartenance politique. Quant aux européennes, elles seront aussi un test pour un parti qui place au rang de ses principales valeurs la "refonte d'une Europe plus intégrée". 

Son calendrier: un lancement fin octobre

Une assemblée générale constitutive devrait avoir lieu le 21 octobre, qui marquera aussi le lancement des adhésions, jusqu'au premier congrès statutaire prévu pour avril ou mai 2013. ,


dimanche 8 juillet 2012

Bonnes vacances d'été 2012 à tous !!!!!!!

Voici venu le temps des vacances, que ces vacances soient pour vous un temps de repos.
Après une si dure année de travail, pour ceux qui ont la chance de travailler, et après une année faite de tant de problèmes et de difficultés pour les autres, vos vacances sont bien méritées mes amis, que vous puissiez partir ou bien que vous restiez dans notre belle ville d’Élancourt.

Repos, fainéantise, promenades sont les recettes des vacances réussies
Grandes vacances d'été, petites vacances en famille, grands voyages ou petits séjours, que du plaisir...même et surtout à Élancourt !
Profitez bien de votre séjour et revenez-nous avec plein de souvenirs, d'images et de belles photos de vacances.
Partir en vacances à la mer, à la montagne ou vacances à la campagne... A chacun ses goûts, à chacun ses choix, à chacun ses possibilités, l'important c'est d'aimer.
Je vous envoie ce petit message pour vous souhaiter de bonnes et belles vacances aux pays de vos rêves où que soient vos rêves.
Je vous présente mes vœux de bonnes vacances, que mes mots vous accompagnent chaque jour.
S'évader, voyager à l'étranger, découvrir d'autres pays et peuples, goûter des plats exotiques, d'autres cultures…
Appréciez chaque instant de plaisir, mettez stress et soucis en congés, votre cœur est en vacances
Voici venu le temps des vacances, que ces vacances soient pour vous un temps de recul et de bonheur

A chacun ses vacances, à chacun ses plaisirs de vacances, que vos vacances soient un poème

Je vous souhaite donc à tous de bonnes vacances et je suis malgré tout impatient de vous retrouver à la rentrée pour continuer de bâtir tous ensemble une vie meilleure à Elancourt !!!!.

mercredi 4 juillet 2012

Saison Culturelle 2012/2013 à Elancourt


Entrez dans vos rêves 


!!!!!Télécharger le programme de notre saison culturelle 2012/2013

Un petit coin de ciel bleu…



Cette année, la saison culturelle de notre belle ville d'Elancourt sera placée sous le signe de la bonne humeur et de la jeunesse. En un mot de la douceur ! Comme ce beau ciel bleu teinté de légers nuages qui, dans notre guide de la saison, enveloppe la Ferme du Mousseau, lieu de toutes les découvertes. Car, dans un contexte difficile en ce moment, on a besoin d’un peu de ciel bleu, d’évasion et de convivialité.
Comme chaque année, nous avons voulu que les Elancourtois puissent venir en famille ou entre amis partager des instants de bonheur et de détente. La programmation fera une large place aux spectacles jeunes et familiaux : concerts, contes, cirque,… Cette saison culturelle n’échappera donc pas à la règle : elle s’adressera, encore et encore, au plus grand nombre, avec cette envie de faire découvrir aux plus jeunes la richesse des arts vivants. Car, dans un monde qui privilégie de plus en plus l’individualisme, le spectacle vivant est plus que jamais un moyen prodigieux de favoriser l’échange, les rencontres, l’ouverture d’esprit…
Mais cette saison n’est rien sans le cadre unique qu’est la Ferme du Mousseau. Soutien aux jeunes compagnies et artistes émergents, développement des accueils en résidence, passerelles entre les artistes et la population, la Ferme est un lieu à part où convergent toutes les créations et les découvertes. C’est également un lieu de travail et de perfectionnement, avec ses écoles d’enseignements artistiques et ses ateliers de théâtre (éveil et adulte), animés par les artistes en résidence. C’est enfin un lieu ouvert à tous comme doit l’être un lieu de culture.
Dans le même ordre d’idée nous maintenons une politique tarifaire des plus accessibles et enfonçons le clou avec la création d’un abonnement intégral pour la saison, avec 10 spectacles au choix pour 45 euros. C’est notre conception de la culture pour tous.


Bonne saison culturelle à toutes et à tous !


Laurent Mazaury
Maire-adjoint aux Affaires Culturelles

samedi 30 juin 2012

Intervention de Laurent Mazaury sur TV Fil 78 au soir du 2eme tour des élections Législatives le 17 juin 2012.

Intervention de Laurent Mazaury, Maire Adjoint d'Elancourt, délégué à la Culture et porte parole du MODEM 78, de l'UDF et du Centre Pour la France, sur TV Fil 78 au soir du 2eme tour des élections Législatives Françaises le 17 juin 2012.

lundi 25 juin 2012

La Communauté d'Agglomération de Saint Quentin en Yvelines s’apprête à voter une motion pour faire modifier les conditions d'application du SDRIF


La Communauté d'Agglomération de Saint Quentin en Yvelines s’apprête à faire voter une motion appelant le nouveau gouvernement à faire modifier les conditions d'application du SDRIF, nous tenons à faire savoir que nous sommes solidaires de cette démarche que nous avions du reste appelée de nos voeux dans notre précédent message sur ce sujet sensible, mais également auprès de certains élus nationaux sans résultat jusqu'ici. Il est à noter que cette modification de la loi ne doit pas concerner que les EPCI mais également les communes pour être équitable et efficace.

Projet de texte de la motion :

MOTION

DEMANDANT LA MODIFICATION DES DISPOSITIFS DE PEREQUATION HORIZONTALE (FPIC ET FSRIF) AFFECTANT LES COLLECTIVITES TERRITORIALES.



La Loi de Finances pour 2012 adoptée le 28.12.2011 intègre au travers du FPIC et du FSRIF des dispositifs de péréquation horizontale qui ne sont pas sans conséquences sur les équilibres financiers des collectivités territoriales.

C’est ainsi que les services de l’Etat ont notifié à chacune des communes de l’agglomération une contribution au FSRIF, se situant pour l’exercice en cours, selon les communes, entre 186 000 € et 1 300 000 €, sachant que seules les villes contributrices pour la première fois ont bénéficié d’un abattement non reconductible de 50%.

La modification de ce périmètre des villes contributrices au FSRIF est due à une modification de la Loi de Finances redéfinissant les critères pris en compte dans son calcul et ne retenant principalement que celui du potentiel financier, laissant ainsi de côté tous les critères sociaux.

Ceci a pour effet immédiat de pénaliser des agglomérations et des villes comme les nôtres, qui, depuis de nombreuses années, se sont efforcées d’appliquer une politique d’aménagement visant à équilibrer le territoire en y accueillant simultanément emploi et logement dont une part significative de logement social.

Il faut souligner aussi que certaines communes continueront à percevoir une dotation de solidarité urbaine, alors qu’elles ne contribuaient pas jusqu’à présent au FSRIF, et qu’une telle dotation constitue bien une reconnaissance de besoins spécifiques liés à des dépenses à caractère social élevées.

Ces contributions viennent s’ajouter à celles, aussi lourdes et progressives, qui résultent  de la création du FPIC (Fond de Péréquation des ressources Intercommunales et Communales), à la fin de l’année 2011 et dont la part communale sera financée par l’agglomération.

Cette mesure intervient alors que bon nombre de nos communes avaient adopté leur budget dès le mois de décembre, que ces derniers ont commencé à être mis en œuvre, rendant alors difficile l’intégration de ces nouvelles contributions dans leur équilibre général.

De nombreuses voix s’élèvent pour faire entendre les multiples difficultés et incohérences soulevées par la création et la modification concomitantes de ces mécanismes de péréquation, et dont la charge est devenue difficilement supportable par les collectivités locales.

En conséquence, nous demandons au Gouvernement nouvellement installé de mettre sans délai à l’ordre du jour des instances concernées une disposition rectificative s’appliquant aussi bien au FSRIF qu’au FPIC, prenant notamment en considération les éléments suivants :

·        Plafonnement des contributions au FPIC à 3% des recettes de fonctionnement (représentant déjà environ 5M€ pour la CASQY), au lieu et place des 10% prévus actuellement.
·        Rétablissement ou institution dès cette année de la prise en compte dans le calcul de chaque contribution, de critères sociaux manifestes comme le poids du logement social ou le revenu moyen par habitant.

lundi 18 juin 2012

Intervention de Laurent Mazaury sur TVFil78 lors des Elections Legislatives 2012 dans les Yvelines au soir du 1er tour


article paru dans les nouvelles de Versailles : sur ma liberté de parole au service des citoyens

Après avoir eu le sentiment d'être soudainement frappé du sceau de "pariât" au sein de notre famille politique centriste "MODEM", et après la parution de cet article dans les Nouvelle de Versailles, il semble que notre position d'indépendance et donc de "non soutien" au candidat ministre Monsieur Benoit Hamon, à sa candidature aux élections législatives dans la 11eme circonscription des Yvelines, ait enfin été entendu et que,  depuis lors, la parole du Modem des Yvelines puisse à nouveau passer par ma voix.





Espérons que face aux prochaines échéances qui nous attendent sur nos territoires, et surtout aux élections municipales qui auront lieu dans 18 mois, nous sachions au sein de notre famille centriste nous retrouver où que soient les uns et les autres pour gagner ensemble, libre de notre parole et obtenir dans l’intérêt de nos concitoyens localement les élus que notre mouvements mérite pour pouvoir appliquer localement nos principes et nos idées.



A bientôt à Élancourt et à Saint Quentin en Yvelines !

dimanche 27 mai 2012

Les législatives à Saint-Quentin : en avant le Centre


 Même si le découpage administratif nous sépare,  le Mouvement démocrate de Saint-Quentin en-Yvelines présente des candidats dans chacune des 7 villes de  l'agglomération.
Nous voulons continuer à proposer aux électeurs un autre choix que le sempiternel "droite" ou "gauche".
Nous faisons nôtres les termes de François Bayrou dans sa conférence de presse du 11 mai dernier:
Notre marque de fabrique,…c'est que nous faisons de la politique comme un engagement,.. Et nous pensons que le courage est nécessaire à l'engagement. Or, l'engagement et le courage, c'est précisément ce qu'il faut à la France.
la période que nous allons vivre va être la plus rude, la plus exigeante que la France ait traversée depuis longtemps.. .la crise vient, plus vite et plus dure qu'on l'imaginait
Face à cette période difficile, nous sommes convaincus que les Français ne veulent pas d'une opposition frontale et systématique... Il faut un courant politique qui ne cherche pas l'échec des gouvernants, mais le succès de la France dans les immenses difficultés qu'elle va rencontrer. Des gens qui ne s'en laissent pas compter…
Cette force ne peut-être qu'au Centre.
Décidés à "ne pas s'en laisser compter", et pour que  tous ceux qui éprouvent un malaise, devant la volonté de monopole du PS et de l'UMP,  puissent s'exprimer, les trois circonscriptions de l'agglomération présentent les candidats du "Centre pour la France" à vos suffrages.
  • 1ere circonscription (Guyancourt, Montigny et une partie de Versailles): Jean-Marc Coursin,  un ignymontain, et Didier Froger, un VersaillaisDSC00903-1-.JPG
  • 2ème circonscription (Magny-les-Hameaux, Voisins et l'autre partie de Versailles) : Flavien flavien-legislatives.jpgBazenet, de Jouy-en-Josas,  et Sophie Mariage,  une versaillaise
  • 11éme circonscription (Elancourt et Trappes) : Evelyne Duquennoy, de St Cyr et Olivier Langeron (un Elancourtois)candidats-11eme.jpg
Ces candidats ne seront pas les hommes et les femmes d'un camp, mais les hommes et les femmes d'un pays et d'un peuple.

dimanche 20 mai 2012

UN NOUVEL IMPÔT POUR ELANCOURT ET POUR TOUTES LES COMMUNES DE SAINT QUENTIN EN YVELINES : LE FONDS DE SOLIDARITE DES COMMUNES DE LA REGION D'ILE-DE-FRANCE (FSRIF)


Notre commune se trouve, pour la première fois, impactée par le prélèvement d'un nouvel impôt
LE FONDS DE SOLIDARITE DES COMMUNES DE LA REGION D'ILE-DE-FRANCE (FSRIF) !!!

La saviez-vous ? : notre ville d'Elancourt est une commune "riche".... à ce titre nous devons dorénavant cotiser au FSRIF et payer notre cote part à ce fond de solidarité qui est supposé ensuite être reversé aux communes les plus pauvres d’Île de France.
Même si cette loi part d'une saine idée de solidarité et de mutualisation des moyens, peut'on en être satisfait totalement ?

En effet peut'on sérieusement penser qu’Élancourt est une ville riche ? Comme toutes les communes de saint Quentin en Yvelines nous avons su, au fil des ans, trouver un juste équilibre délicatement batit entre les habitations et les entreprises. C'est notre attractivité, et le travail de tous, qui ont fait venir les plus belles entreprises sur notre territoire.

Pourquoi aujourd'hui être pénalisés ainsi par l'application d'une loi qui n'est pas allée au bout de la démarche qu'elle prétendait défendre : celle de la solidarité et de la mutualisation ?

En effet, si l'appartenance à un EPCI rentre bien en ligne de compte dans le calcul du montant de ce prélèvement (cf ci-dessous le lien : LE FONDS DE SOLIDARITE DES COMMUNES DE LA REGION D'ILE-DE-FRANCE (FSRIF) ), pourquoi le législateur n'a t'il pas tenu compte d'un fait simple : les impôts locaux prélevés par les communes membres d'un EPCI sont remontés au niveau de celui-ci (la CASQY dans notre cas) pour ensuite être redistribués à toutes les communes appartenant à l'EPCI (fond de concourt pour les projets de constructions d'équipements par exemple etc...) après répartition "solidaire" entre les communes membres de cet EPCI : les communes les plus riches finançant de fait les communes les plus pauvres du territoires ou encore les communes les moins dotés en équipements par exemple.
Aussi pourquoi le législateur n'a t'il pas intégré, pour nous les anciennes "villes Nouvelles" , mais également pour toutes les communes de France membres d'un EPCI, l'idée simple que l'impôt de solidarité Francilien (FSRIF) devrait être dans ce cas prélevé au niveau de l'EPCI, et non au niveau des communes membres de celui-ci, et le calcul également réalisé au niveau de l'EPCI pour en connaitre le montant ?


Gageons qu'il y a là un vrai sujet dont les futurs députés, bientôt élus ou réélus, devront rapidement se saisir !!!!!!!!


Ci-dessous deux liens pour tout comprendre :
Circulaire sur la répartition du FSRIF au titre de l'exercice 2012
LE FONDS DE SOLIDARITE DES COMMUNES DE LA REGION D'ILE-DE-FRANCE (FSRIF)



dimanche 13 mai 2012


François Bayrou a présenté la démarche des candidats du "Centre pour la France" lors des élections législatives, lors d'une conférence de presse, jeudi 10 mai à Paris.
De Bayrou à Raffarin, les centristes en ordre dispersé aux législatives
L’élection présidentielle a livré son verdict. François Hollande a été élu, et Nicolas Sarkozy a organisé la transition comme elle devait l’être. Les Français ont apprécié ce moment républicain, ce qui prouve qu’il y a dans notre pays aujourd’hui un grand besoin d’apaisement.

Dans cette élection, j’ai pris mes responsabilités. Pour moi, la vie, cela consiste à prendre ses responsabilités. Je l’ai fait, est-il besoin de le dire, sans aucune idée d’intérêt, sans aucune sorte de marchandage. On me dit : vous avez pris des risques ! On va vous le faire payer et vous désigner comme cible. Je l’accepte. J’assume cela. J’ai pris cette décision, parce que je considérais que l’essentiel se trouvait en jeu, qu’au bout du compte, malgré mes réserves sur bien des points, l’alternance offrirait une chance nouvelle au pays.

Et notre marque de fabrique, à nous, c’est que nous ne faisons pas de la politique comme un marchandage : nous faisons de la politique comme un engagement. Et nous pensons que le courage est nécessaire à l’engagement. Or l’engagement, et le courage, c’est précisément ce qu’il faut à la France. Pas le sectarisme. Car la période que nous allons vivre va être la plus rude, la plus exigeante, que la France ait traversée depuis longtemps.

Je veux vous dire solennellement ceci : la crise vient, plus vite et plus dure qu’on ne l’imaginait ! L’étincelle part de Grèce, mais c’est dans les États endettés de la zone euro, et au premier chef chez nous en France, que l’incendie risque de s’allumer.

Voilà la dure réalité. Cette crise est celle des États surendettés de la zone euro. En finançant à crédit leur train de vie, en dépensant pour le courant et pas assez pour l’investissement, ces pays, et le nôtre, se sont placés dans une situation invivable. La crise qui vient sera la plus rude de celles que notre pays aura traversées depuis la guerre, parce que cette crise risque de menacer d’abord notre modèle social et de services publics.

J’espère que des démarches de croissance seront acceptées par les autorités de l’Union européenne. Mais c’est à l’horizon de plusieurs années. Et elles ne seront acceptées que si, en même temps, les pays cessent de s’endetter, et cela c’est à court terme. Et comme dans toute crise, ce sont les catégories les plus fragiles qui risquent d’être les premières atteintes. Il est très important que les gouvernants aient cela à l’esprit.

Et cela a deux conséquences. Il n’y aura pas de répit. Il y aura peut-être un court état de grâce politique, mais pas d’état de grâce économique et social. Et deuxième conséquence : on ne sortira pas de cette crise par les solutions politiques classiques !

François Hollande a un atout : il n’est pas ressenti comme un homme d’affrontements, je crois pour ma part que c’est authentique, il est nouveau, il a un certain crédit dans l’appareil d’État. Surtout, il a obtenu le soutien des catégories populaires les plus fragiles. Mais son programme économique devra être repris en profondeur, à la mesure de la crise, et ce sera un rude exercice de vérité, d’abord dans sa majorité.

S’il trouve en face de lui une opposition agressive et systématique, qui fera feu de tout bois, a fortiori une cohabitation de blocage, il n’existe aucune chance que le pays puisse se redresser. Je suis persuadé que les Français ne veulent pas d’une opposition frontale et systématique pour la période qui s’ouvre. Ils ont envie de gens, même différents, mais réunis qui fassent avancer les choses. C’est dans cette volonté que nous nous inscrivons. Il faut au Parlement un courant politique nouveau qui soit à la fois indépendant et positif. Il faut un courant politique qui dise non à la participation complaisante, non à l’opposition de principe, et oui à l’esprit de responsabilité et d’unité nationale.

Il faut un courant politique qui ne cherche pas l’échec des gouvernants, mais le succès de la France dans les immenses difficultés qu’elle va rencontrer. Des gens qui ne s’en laissent pas compter, qui ne se laissent pas influencer par les intérêts partisans. Et cette force ne peut être qu’au Centre.

Je dis au centre. Pour la première fois, un vrai centre peut exister. Jusqu’à maintenant, le centre ne se concevait qu’à droite. Jamais, depuis des années, il n’avait pu faire la preuve d’une vraie indépendance, d’une vraie liberté de décision, fondée non pas sur des arrière-pensées, mais sur le plus profond de son engagement.

Or pour qu’un vrai centre existe, il faut qu’il réunisse des femmes et des hommes qui assument leur diversité et ne soient pas toujours du même côté de cette barrière imaginaire qui séparerait les Français.

J’ai beaucoup d’amis qui ont voté Sarkozy et appelé à voter pour lui. Je considère qu’ils en avaient le droit. J’ai des amis qui ont voté blanc. Je considère qu’ils en avaient le droit. Beaucoup d’entre nous aussi ont voté Hollande et moi avec eux.

Ils n’ont pas à être accusés de leur vote. Ils en avaient le droit élémentaire comme citoyens. Aucun contrat, aucune dépendance ne doit empêcher un citoyen d’émettre le vote qu’il considère juste.

Et c’est en acceptant cette diversité, en réunissant ceux qui ont fait des choix de deuxième tour différents, et heureusement, que nous créerons le pôle central libre dont la France a besoin. C’est un grand changement.

La création d’une force centrale et libre dans la vie politique française, là est la seule nouveauté, et le seul changement possible. Et cette force centrale qui accepte et veut voir réunies les sensibilités différentes du centre, ceux qui ont voté d’un côté et ceux qui ont voté de l’autre, un pôle qui non seulement accepte la diversité mais la souhaite, c’est la garantie que pour la première fois, un courant refusera le sectarisme, les réflexes de clan, tout pour ou tout contre, toujours pour ou toujours contre !

Au travers des candidats de cette force centrale, pourront s’exprimer tous ceux qui éprouvent un malaise devant la volonté de monopole de l’UMP et du PS. Et je les ai rencontrés, les gaullistes, les sociaux démocrates, les sensibilités sociales de la droite républicaine, les écologistes réalistes. Tous ceux qui n’aiment pas que triomphent les seules logiques d’appareil. Tous ceux qui en ont marre des sectaires d’un bord ou de l’autre.

Quand les décisions seront bonnes et courageuses, le pôle central soutiendra les orientations du gouvernement. Quand elles seront risquées, il le dira clairement. En toutes circonstances, il cherchera à influencer les décisions prises dans le sens du courage, du réalisme, et de l’attention à porter à la vie quotidienne. Il défendra une vision pour le pays, autant que le souci de la vie de tous les jours. Il sera humaniste, pas seulement dans les mots, mais dans les actes. Devant la crise, il défendra l’intérêt national et donc l’unité nationale.

Les candidats de ce pôle central qui auront signé une charte d’engagement se présenteront sous l’étiquette : "Le Centre pour la France".

Ces candidats auront un mot d’ordre : "nous voulons être utiles à la France, pour qu’elle échappe à ses divisions". Ils ne seront pas les hommes et les femmes d’un camp, mais les hommes et les femmes d’un pays et d’un peuple.